| Je t’imagine seul ce jour-là | 
| En Espagne, faisait-il froid en décembre? | 
| C'était décembre | 
| Posté à la porte A, bouquet de roses sous le bras | 
| À m’attendre, à m’attendre | 
| Combien d’heures as-tu attendu? | 
| D’ailleurs, est-ce que tu es venu? | 
| Quand j’y pense | 
| Car oui, j’y pense | 
| Si ce jour-là j'étais descendue | 
| De l’avion, aurait-on eu notre chance? | 
| Oh-oh, oh-oh, oh-oh | 
| Non, je ne saurais jamais | 
| Ce que ça fait, de t’aimer à Barcelone | 
| Non, je ne saurais jamais | 
| Ce que ça fait, de t’aimer en espagnol | 
| On n’s'était vu que quelques fois | 
| Nos langues ne s’accordaient même pas | 
| Mais on riait, souviens-toi | 
| Entre nous la langue des yeux | 
| Cette langue pour les cœurs amoureux, suffisait, et pourtant | 
| J’ai préféré à ce séjour, l’hiver à Paris, le cœur lourd | 
| Ai-je eu tort? | 
| J’ai du remord | 
| Combien d’hommes attendent leur amour | 
| Espérant qu’il arrive un jour à l’aéroport? | 
| Oh-oh, oh-oh, oh-oh | 
| Non, je ne saurais jamais | 
| Ce que ça fait, de t’aimer à Barcelone | 
| Non, je ne saurais jamais | 
| Ce que ça fait, de t’aimer en espagnol | 
| Non, je ne saurais jamais | 
| Non, je ne saurais jamais | 
| Non, je ne saurais jamais | 
| Non, je ne saurais jamais | 
| La, la, la, la, la, la, la-la | 
| La, la, la, la, la, la, la-la | 
| La, la-la, la, la-la | 
| La, la, la, la, la, la, la | 
| Non, je ne saurais jamais | 
| Ce que ça fait, de t’aimer à Barcelone | 
| Non, je ne saurais jamais | 
| Ce que ça fait, de t’aimer en espagnol |