Информация о песне На данной странице вы можете ознакомиться с текстом песни Sacré Samedi Noir, исполнителя - Oxmo Puccino. Песня из альбома Opéra Puccino, в жанре Иностранный рэп и хип-хоп
Дата выпуска: 26.04.2018
Лейбл звукозаписи: AllPoints
Язык песни: Французский
Sacré Samedi Noir |
Je débarque, casse la baraque, mes potes le remarquent |
J’suis baraque, nos sapes claquent, photos clic-clac |
J’suis dans la soirée, les gos sont parées |
J’suis taré de leurs jupes de Lilliput, ça les fait marrer |
Au fond de la salle, je tombe, une bombe me mate, je l'épate |
Mes yeux de black se plaquent sur elle comme sur un Kodak |
Ok d’ac', d’attaque, gare au maniaque |
Qui taquine ta coquine qui me kiffe quand je kick au mic' |
Premier couac, son mec le mac débarque, une face de Big Mac |
Et dans son micmac me traite de macaque |
Moi c’est Oxmo, élément malaimanthipatique |
Typique du type qui pique pour un peu de fric |
J’me fâche donc ne lâche aucune insulte |
J’suis quand même pas inculte et tant pis pour ce qui en résulte |
Tios, mon soce sort son Mac-10, le braque |
Le mac craque, flippe sec et me sort à moi du tac au tac |
«Me touche pas, je viens de la cité Pétaouchnok» |
Moi du 19, compose le 15, j’viens d’un roman d’Hitchcock |
Ah, mes sacrés samedi soir |
Moi et mes potes c’est sacré samedi, chaque soir |
Tu savais pas que moi et ta go, c’est sacré samedi soir |
Les fêtes à Ox, c’est chaque sacré samedi soir |
Ah, mes sacrés samedi soir |
Moi et mes potes c’est sacré samedi, chaque soir |
Tu savais pas que moi et ta go, c’est sacré samedi soir |
Les fêtes à Ox, c’est chaque sacré samedi soir |
Deuxième couac, c'était la boîte du mac |
Les hommes du mac se moquent du Mac-10 de Tios, mon soce |
Mes potes et moi on est quand même beaucoup mais pas trop |
Plus de métro, à trois va falloir être synchro |
On se sépare et se perd, je tombe sur une bande de loubards |
Espérant s’accaparer de mes parties et j’suis parti |
L’apathie de ces mal bâtis qui me veulent aplati |
Je commence à filer comme une Maserati |
Mazette, j’veux pas passer demain matin dans la gazette |
Comme une victime cassée comme une noisette à la massette |
Je préfère être un lâche vivant, moins grave qu’un brave mourant |
Sans honte j’ai fait mon choix en courant |
Ah, mes sacrés samedi soir |
Moi et mes potes c’est sacré samedi, chaque soir |
Tu savais pas que moi et ta go, c’est sacré samedi soir |
Les fêtes à Ox, c’est chaque sacré samedi soir |
Ah, mes sacrés samedi soir |
Moi et mes potes c’est sacré samedi, chaque soir |
Tu savais pas que moi et ta go, c’est sacré samedi soir |
Les fêtes à Ox, c’est chaque sacré samedi soir |
80 jours plus tard, j’ai semé les loubards au Carpates |
On est samedi 3H du mat', j’suis crevé à 4 pattes |
Quand j’entends émanant d’un taudis |
Un son façon simple et funky kiffant qui fait tant kiffer les ladys |
A la porte mon cousin, j’lui tire sa tignasse grasse |
Le botte avec ses potes et le finis |
Arrivé dans la partie, je livre un whisky |
J’suis pas ivre dans la salle, y’a que des ladys |
Au fond de la salle, une belle me fixe |
Ses fesses excellent en bon dique-sa, fissa je me hisse |
Je me la joue cain-ri, j’glisse |
«Please Baby, Bibabeloua, I Love You» |
Alléluia mon front se mouilla |
Donc on se glisse en vitesse, je la colle elle me caresse |
Car j’suis le boss de la Zouk Dance |
Mince je sens un joujou dur, pas le mien sans rire |
Je tombe par terre quand sa robe je tire |
Elles sont belles, sexy mais c’est des travestis |
J’ai mon portable je suis discret, «allô taxi ?» |
Ils ont saisi que j’ai saisi, ont choisi d’me saisir pour le plaisir |
Alors commence le fouillis dans le rififi |
Les fonds d’teint se mélangent au whisky |
Déclenche un incendie chimico-toxique de mèches pony |
Fumée marron façon mousse au chocolat |
Je m'échappe car tous veulent que je saigne |
Y’avait mon cousin, ses potes des DOM-TOM |
Pompiers, loubards, le travesti, le mac et ses hommes |
Ceux qui me jalousent pour mes foulées |
Marie-José Pérec, Linford Christie et Ben Johnson |
Commence alors une course digne de la ruée vers l’or |
Sauf que là l’or c'était moi, que vais-je faire encore? |
Sur la vie de mon verre de whisky j’ai pas d’idée |
Quand j’entends «à vos marques, prêt, feu, partez» |