Информация о песне На данной странице вы можете ознакомиться с текстом песни Knokke-le-Zoute tango, исполнителя - Jacques Brel. Песня из альбома Les marquises, в жанре Эстрада
Дата выпуска: 31.12.2012
Лейбл звукозаписи: Barclay
Язык песни: Французский
Knokke-le-Zoute tango |
Les soirs où je suis Argentin |
Je m’offre quelques Argentines |
Quite à cueillir dans les vitrines |
Des jolis quartiers d’Amsterdam |
Des lianes qui auraient ce teint de femme |
Qu’exporte vos cités latines |
Ces soirs-là je les veux félines |
Avec un rien de brillantine |
Collé aux cheveux de la langue |
Elles seraient fraiches comme des mangues |
Et compenseraient leur maladresse |
À coups de poitrine et de fesses |
Ah mais ce soir |
Y a pas d’Argentines |
Y a pas d’espoir |
Y a pas de doute |
Non ce soir |
Il pleut sur Knokke-le-Zoute |
Ce soir comme tous les soirs |
Je me rentre chez moi |
Le cœur en déroute |
Et la bitte sous l’bras |
Les jours où je suis espagnol |
Petites fesses grande bagnole |
Elles passent toutes à la casserole |
Quite à pourchasser dans Hambourg |
Des Carmencitas de faubourg |
Qui nous reviennent de vérole |
Je me les veux fraiches et joyeuses |
Bonnes travailleuse sans parlotes |
Mi-andalouses, mi-anguleuses |
De ces femelles qu’on gestapotte |
Parce qu’elles ne savent pas encore |
Que Franco est tout à fait mort |
Mais ce soir |
Y a pas d’Espagnoles |
Y a pas de casseroles |
Y pas de doute |
Non ce soir |
Il pleut sur Knokke-le-Zoute |
Ce soir comme tous les soirs |
Je me rentre chez moi |
Le cœur en déroute |
Et la bitte sous l’bras |
Les soirs depuis Caracas |
Je Panama je Partagas |
Je suis l’plus beau |
Je pars en chasse |
Je glisse de palace en palace |
Pour y dénicher le gros lot |
Qui n’attend que mon coup de grâce |
Je la veux folle comme un travelo |
Découverte de vieux rideaux |
Mais cependant évanescente |
Elle m’attendrait depuis toujours |
Cerclée de serpents et de plantes |
Parmi les livres de Dutourd |
Mais ce soir |
Y a pas de Caracas |
Y a pas de t'évanescente |
Y a pas de doute |
Mais ce soir |
Il pleut sur Knokke-le-Zoute |
Ce soir comme tous les soirs |
Je me rentre chez moi |
Le cœur en déroute |
Et la bitte sous l’bras |
Mais |
Demain |
Oui, peut-être que |
Peut-être que demain |
Je serai Argentin |
Oui |
Je m’offrai des Argentines |
Quite à cueillir dans les vitrines |
Des jolis quartiers d’Amsterdam |
Des lianes qui auraient ce teint de femme |
Qu’exporte vos cités latines |
Demain je les voudrai félines |
Avec ce rien de brillantine |
Collé aux cheveux de la langue |
Elles seront fraîches comme des mangues |
Et compenseront leur maladresse |
À coups de poitrine et de fesses |
Demain je serai espagnol |
Petites fesses grande bagnole |
Elles passeront toutes à la casserole |
Quite à pourchasser dans Hambourg |
Des Carmencitas de faubourg |
Qui nous reviendront de vérole |
Je les voudrai fraiches et joyeuses |
Bonnes travailleuses sans parlote |
Mi-andalouses mi-anguleuses |
De ces femelles qu’on gestapotte |
Parce qu’elles ne savent pas encore |
Que Franco est tout à fait mort |
Les soirs depuis Caracas |
Je Panama je Partagas |
Je suis l’plus beau |
Je pars en chasse |
Je glisse de palace en palace |
Pour y dénicher le gros lot |
Qui n’attend que mon coup de grâce |
Je la veux folle comme un travelo |
Découverte de vieux rideaux |
Mais cependant évanescente |
Elle m’attendrait depuis toujours |
Cerclée de serpents et de plantes |
Parmi les livres de Dutourd |