| C’est pour toi que je chante tremblant et peureux
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| Toi, la foule des gens heureux
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| Qui me guette et qui me rend heureux
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| Qui me guette et qui me rend heureux
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| Tu sais qu’après bien des années et quand je serai vieux
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| Toi, la foule des gens heureux
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| Tu reviendras pour d’autres cheveux
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| Tu reviendras pour d’autres cheveux
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| Tout ça n’a pas d’importance
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| Pourvu qu’on vive et qu’on chante
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| Tout ça n’a pas d’importance
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| Tant qu’on peut rire et chanter
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| Mais je suis sur la Terre
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| Et j’entends ses sanglots
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| Ses colères et tous ses maux
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| Tous ses rêves et puis tous ses oiseaux
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| Tous ses rêves et puis tous ses oiseaux
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| Si je suis sur la Terre
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| Si je la prends aux mots
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| Si je chante des jours plus beaux
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| Dites-moi donc un métier plus beau
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| Dites-moi donc un métier plus beau
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| Tout ça n’a pas d’importance
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| Si je mets les rêves dans la balance
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| Tout ça n’a pas d’importance
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| Moi je mets les rêves dans la balance
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| Une petite fille blême derrière le rideau
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| Elle m’aime presque en sanglots
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| Que je chante juste, bien ou faux
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| Que je chante juste, bien ou faux
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| Elle sait quand s'éteindront les lumières
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| Reprenant mon manteau
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| Pour ma mère, Étienne et puis Momo
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| Je resterai toujours le plus beau
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| Je resterai toujours le plus beau
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| Tout ça, tout ça
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| Comme le vent, passera |