| Ils sont de beauté incroyable
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| Deux sur un océan de sable
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| Où l’on entend des explosions
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| Et le grondement des avions
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| Faut voir leurs yeux qui s’attardent
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| Chacun sur le visage de l’autre
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| Ils se regardent et se regardent
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| Comme si au monde il n’y avait rien d’autre
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| Le flot d’amour qui les traverse
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| Se déverse et les renverse
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| Comme quand on rit sous l’averse
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| L’amour inattendu
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| L’espoir nous est rendu
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| Enfin un soupir détendu
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| Comme si la guerre avait perdu
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| Comme si la guerre avait perdu
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| Malgré la mort qui se cache
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| Dans l’acier violent qui la crache
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| Lorsque la nuit le ciel se fâche
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| On n’a pas envie qu’ils se lâchent
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| Le flot d’amour qui les traverse
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| Se déverse et les renverse
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| Comme quand on rit sous l’averse
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| L’amour inattendu
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| L’espoir nous est rendu
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| Enfin un soupir détendu
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| Comme si la guerre avait perdu
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| Comme si la guerre avait perdu
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| Au loin au dessus des collines
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| Le soleil du soir qui décline
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| Au son des balles comme des abeilles
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| Sifflant cette vieille histoire qui bégaye
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| Le flot d’amour qui les traverse
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| Se déverse et les renverse
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| Comme quand on rit sous l’averse
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| L’amour inattendu
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| L’espoir nous est rendu
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| Enfin un soupir détendu
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| Comme si la guerre avait perdu
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| Comme si la guerre avait perdu
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| Comme si la guerre avait perdu
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| Comme si la guerre avait perdu |