| C’est pas donné aux animaux, pas non plus au premier blaireau
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| Mais quand ça vous colle à la peau, putain qu’est-ce que ça vous tient chaud
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| Écrire et faire vivre les mots, sur la feuille et son blanc manteau
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| Ça vous rend libre comme l’oiseau, ça vous libère de tout les mots
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| Ça vous libère de tous les maux
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| C’est un don du ciel, une grâce, qui rend la vie moins dégueulasse
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| Qui vous assigne une place, plus près des anges, que des angoisses
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| Poèmes, chansons, brûlots, vous ouvrent des mondes plus beaux
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| Des horizons toujours nouveaux, qui vous éloignent des troupeaux
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| Et il suffit de quelques mots, pour toucher le cœur des marmots
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| Pour apaiser les longs sanglots, quand votre vie part à vau-l'eau
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| Quand votre vie part à vau-l'eau
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| C’est un don du ciel une grâce, qui rend la vie moins dégueulasse
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| Qui vous assigne une place, plus près des anges, que des angoisses
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| Les poèmes d’un Léautaud, ceux d’un Brassens d’un Nougaro
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| La plume d’un Victor Hugo éclairent ma vie comme un flambeau
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| Alors gloire à ces héros, qui par la magie d’un stylo
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| Et parce qu’ils font vivre les mots, emmènent mon esprit vers le haut
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| Emmènent mon esprit vers le haut
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| C’est un don du ciel, une grâce, qui rend la vie moins dégueulasse
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| Qui vous assigne une place, plus près des anges, que des angoisses
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| Qui vous assigne une place, plus près des anges, que des angoisses |