| Ces petits luxes providentiels
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| N’ont plus l' goût de nos amours
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| Bien chambrées
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| Du grand hôtel vide à la rue, il n’y a qu’un pas
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| La foule qui me mène à toi a tout l’air, l’air d’un faux pas
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| Le Raphaël, seul, a du vernis quand je balance
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| Entre deux belles, entre deux belles
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| Le superflu c’est l’amour, me comprends-tu?
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| Ton indifférence est le cœur de ma folie
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| Et ton allure singulière a la distance et la beauté
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| Des photos glacées que j’aime
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| Plus tu m'échappes, plus tu me plais
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| Au jeu de l’amour, on s’est bien ruinés
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| Tes seins, ta peau douce, tes yeux mouillés
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| Ta jeunesse, désormais me laissent sans regrets
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| Le superflu c’est l’amour, le comprends-tu?
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| Ton indifférence me va droit au cœur
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| Tes accents superficiels ont la distance et la beauté
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| Désespérées des rares instants perdus ensemble
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| C’est dommage, rien ne va plus
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| Entre nous, rien ne va plus
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| Ces petits luxes providentiels
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| N’ont plus l' goût de nos amours
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| Bien chambrées
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| Plus tu m'échappes, plus ça me frappe
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| Je retombe amoureux, là, presque aussi sec
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| Je te dis «Reste !», j' retourne ma veste
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| Nous voilà encore une fois dans de beaux draps
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| Plus tu m'échappes, plus tu m' plais
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| Et c’est comme ça que tu m’attrapes
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| Non, n’essaie pas de comprendre
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| Ce qui t'échappe, c’est toujours moi
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| Ces petits luxes providentiels
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| Ont le dégoût de nos amours
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| Même chambrées
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| Ces petits luxes providentiels
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| Font leurs adieux au Raphaël
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| En privé |