Y’a des mamans, avec des papas
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Y’a des papas, avec des mamans
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Y’a des mamans, avec des mamans
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Y’a des papas, avec des papas
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Y’a des papas, avec deux mamans
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Y’a des mamans, avec pas d’papa
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Y’a des mamans, parfois on sait pas
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Y’a des papas, on aimerait que nan
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Qu’il vente, qu’il pleuve
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Il font, tout se qu’il peuvent
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Il doute, quand même
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Que leurs enfants les aiment
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Mais les enfants, y’a qu’avec les cons qu’ils sont, malheureux
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Mais les enfants, y’a qu’avec les cons qu’ils sont, malheureux
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Y’a des mamans, qui bossent comme des papas
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Comme des papas, mais qui gagnent pas autant
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Y’a des papas, qui trouvent que c’est navrant
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Mais qui font tout, pour que ça change pas
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Y’a des papas qui roulent, comme des mamans
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Y’a des mamans, qu’aiment pas qu’on disent ça
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Y’a des mamans, qui pour prouver que pas
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Font les papas, et ont des accidents
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Qu’il vente, qu’il pleuve
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Il font, tout se qu’il peuvent
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Il doute, quand même
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Que leurs enfants les aiment
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Mais les enfants, y’a qu’avec les cons qu’ils sont, malheureux
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Mais les enfants, y’a qu’avec les cons qu’ils sont, malheureux
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Et puis un jour, les enfants sont grands
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Et les parents, n’ont pas vu arriver ça
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Et ils attendent, leur tour évidemment
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De jouer à la mamans et au papa
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Et un jour, les enfants de ce monde pense à leur maman et leur papa
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En se disant, que oui finalement, ils n'étaient pas si mauvais que ça
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Mais les enfants, y’a qu’avec les cons qu’ils sont, malheureux
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Mais les enfants, y’a qu’avec les cons qu’ils sont, malheureux
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Mais les enfants, y’a qu’avec les cons qu’ils sont, malheureux
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Mais les enfants, y’a qu’avec les cons qu’ils sont, malheureux |