| Tu dis que mon nom ressemble à la lumière
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| Mais tu sais pourtant que je marche dans la poussière
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| Les pieds nus, comme une bohémienne
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| Et je regarde plus la terre que tout le ciel
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| Tu dis que la vie, c’est «tu gagnes ou tu perds»
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| Et que l’amour, c’est une partie de poker
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| Mais moi je ne joue pas à ce jeu-là
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| Moi je préfère jouer avec mon chat
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| T’aurais pas du entrer dans ma vie
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| T’aurais pas du fouler le sol de mes nuits
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| T’as pas compris que même les grandes filles
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| Ça joue à la poupée mais ça joue pas aux billes
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| T’aurais pas du me demander tant de choses
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| Comme le nom ou la couleur des roses
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| Tu dis que l’amour, c’est pas chacun pour soi
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| Mais tes beaux discours, Si tu crois que je les croie
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| Les gens comme toi, je les connais par coeur
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| Ça dessine même le noir en couleur
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| Tu dis qu’un jour, on prendra le même bateau
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| Que t’as le pied marin, même Si t’aimes pas l’eau
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| C’est naviguer dans tes bras qui me plaît pas
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| J’ai le mal de mer, surtout quand tu t’en vas
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| T’aurais pas du entrer dans ma vie
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| T’aurais pas du fouler le sol de mes nuits
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| T’as pas compris que même les grandes filles
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| Ça joue à la poupée mais ça joue pas aux billes
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| T’aurais pas du me demander tant de choses
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| Comme le nom ou la couleur des roses
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| Comme le nom ou la couleur des roses |