| On a commencé en bas, on voulait juste finir en haut, c’est dur de m’décrocher
|
| un sourire parce qu’ici, la vie rend ouf
|
| Finir dealeur, c’est pas une victoire, j’veux brasser légal, effacer les
|
| anciennes histoires
|
| Petit ient-cli, dans l’binks, y a pas d’ristourne, t’es mon reuf,
|
| fais-la moi au prix d’touche
|
| Fais pas l’fou si devant tu prends le Uber, pris en chasse par les condés,
|
| j’prends la vie par le ul-c
|
| Tout droit, j’ai une main sur le volant l’autre sur mon destin
|
| Tout droit, j’crois qu’il est l’heure de manger, servez-moi mon festin
|
| Adios, adios, adios, adios
|
| Adios, adios, adios, adios
|
| Et toi, t’es pas mon grand donc j’te respecterai pas longtemps
|
| Pourquoi tu viens montrer tes jambes? |
| L’oseille, ouh, j’la connais,
|
| tu feras pas bander mes gens
|
| J’veux plus voir la juge, j’en reste pas moins produit de la ue-r
|
| J’pense vendre mes tales à toute allure, par ici, l’amour à un goût d’cyanure
|
| Et il faut d’l’oseille en masse, monter des entreprises, sortir mes reufs du
|
| binks, leur éviter les bains d’sang
|
| Les anciens m’disent qu’y a rien d’plus précieux que le temps
|
| Parce qu’on aura pas toujours vingt ans
|
| Tout droit, j’ai une main sur le volant l’autre sur mon destin
|
| Tout droit, j’crois qu’il est l’heure de manger, servez-moi mon festin
|
| Adios, adios, adios, adios
|
| Adios, adios, adios, adios |