Информация о песне На данной странице вы можете ознакомиться с текстом песни Encore, исполнителя - Vald. Песня из альбома NQNTMQMQMB, в жанре Иностранный рэп и хип-хоп
Дата выпуска: 04.08.2016
Возрастные ограничения: 18+
Лейбл звукозаписи: Mezoued
Язык песни: Французский
Encore |
Aller, aller encore un son qui mènera nulle part |
Fume-ça, roule un bon stick et tape une barre |
N’abuse pas ma puce |
J’accumule un tas de trucage, du grabuges dans mon fuselage |
J’ai de l’actu dans mon futal… |
Encore un matin pas si mal en tant que zigzag dans le corridor |
Encore une clope matinale, machinalement j’en rigole |
On va me demander si ça va et ça même sans qu’on se connaisse |
J’fais des chansons de poètes, ah bon c’est dans le fond de causette |
ça y est maintenant c’est honnête, tu pourras dire que non |
Aucune envie de me faire épauler par le fils de Kant |
J’tassure que j’ai du sang de philosophe |
Eduquant le microphone en kimono |
Vagin dans le ciboulot |
J’collectionne les virus microsoft |
Encore un faux raccord dans le corps à corps du RER |
L’histoire dégénère et ça devient dérisoire que tout reste éphémère |
Encore une fois je vais devoir m’en battre les couilles |
Le soir reparlé de foufs, me gratter leboul et puis m’en rebattre les couilles |
Encore un conseil qu’ira finir dans mes chiottes |
Et un Don Per qui m’annihile sans effort |
Me fragilise l’encéphale |
Ouai c’est l’aspirine quand c’est flasque |
Et les activistes Andémol viennent m’astiquer dans les loges |
Et activer l’essuie-glace |
Encore une suceuse à nibards payée pour sourire comme une conne |
Pour courtiser l’audimat, arrache des soupirs aux lucioles |
Et j’préfère mourir aussitôt que de me soucier de vos images |
Même me pourrir au pinot et devenir soumis polygame |
Encore une propagande de sexagénaire israélienne |
Qui lavent à la main leurs casseroles pour que brille la vaisselle |
Ce PD tise ma réserve, ça m'épuise |
Parait-il que l’amnésie m’apprécie |
(mais j’sais plus qui me l’avait dit) |
Pourtant à s'égosiller j’ai fait les mêmes choses hier |
Ce même air obstiné devant ces 13 gros billets |
Ces mêmes fesses tonifiées sur internet pornifié |
J’invente des mots et pour ma mère: |
(j'ai eu la moyenne au lycée) |
Encore un mec qui boit tout près de Pigalle |
Se met minable pour sa Festina |
Qu’il estimera dans plusieurs périodes estivales |
Des cavus s'égare dans des débats tous interminables |
Des barres de rages intestinales |
Dégueule sur un insecte qui passe |
Pas besoin de s’isoler des frères |
Pour ciseler ses veines |
Et rester prisonnier des fesses |
Je fignole des mijaurées sévères et j’ai besoin de rigoler mes vers |
Pour me sentir libre |
Libre d'être un consommateur guidé par son chibre |
Aller, aller encore un son qui mènera nulle part |
Encore cette sensation de vivre pour donner son trou d’balle |
J’avoue sans station digne de ce nom j'écoute Vald |
Et quand je rêve de Tory Lane je lui mets des coups de schlasse |
Et tu va jouir putain de grosse pute |
à voir les mêmes choses tous les jours j’en deviens golbute |
Mais tant que ça m’occupe j’occulte les gros culs cocus dodus |
Les obus qu’on fume bossus et les ventes d’Hocus Pocus |
Encore un focus dans l’calbare de V |
Pendant que tu mates Master Chef encore un wack martelé |
Encore une tasse m’harcèle et j’en ai le |
Braquemart félé, bâtards |
Vous voulez du magma venez, le slogan c’est: Val' casse des nez |
J’emmerde vos tas de casse-dédi |
Dégaine le taga je l’effrite |
Devant la saga de Freddy |
Le cerveau en pagaille j'écris |
Pendant qu’un petit PD plein de haine, genre d’illétré sincère |
Crois gêner la société lorsqu’il caillasse les flics |
J’ai des messages farfelus |
J’déboite des tas d’chattes velues |
Venu d’ailleurs y’a de l’Absolut |
J’m’en veut pas dans l’absolu! |
Mais j’en ai plein le cul ça va |
D’entendre ces 15 putes bavardes |
Alors à l’insu de la masse |
Je te baise sur cet instru de malade |
Encore une feuille qui tombe et une autre qui se roule |
Si t’as peur fiston dis-toi que j’ai les fils qui se touchent |
Car le peura ça rend cool c’que j’dis |
Même si des fois j’pars en couille j’reste vrai et j’ai les pires discours |
Aller, aller encore un son qui mènera nulle part |
Fume-ça, roule un bon stick et tape une barre |
N’abuse pas ma puce |
J’accumule un tas de trucage, du grabuge dans mon fuselage |
J’ai de l’actu dans mon futal… |
Sullyvan |
Encore un matin ou je me réveille dans une mère solitaire à qui j’aurais pas |
dûs bercé les nerfs |