| Le jour se lève déjà sous un grand ciel gris
|
| Sur cette mélodie, je n’ai pu fermer l'œil de la nuit
|
| J’ouvre les yeux, parle de ce que je vois, ce que je vis
|
| Quand je rappe, je représente ceux que l’on oublie
|
| Ça c’est deau-ca, gros big up à Rocca
|
| Hommage à mes grands frères d’une maxence totale
|
| Pas forcément à l’affiche, tous ces putains d’artistes
|
| Validés par les vrais mais restent classés dans la blacklist
|
| La sique-mu, c’est ça, hélas, des clés, y en a pas des masses
|
| Peu tirent le carré d’as mais en termes de classiques, ça met v’là les baffes
|
| Des coups de canons, hommage aux braves
|
| La mélodie de piano, c’est pour tous ceux qui savent
|
| J’ai aperçu la lumière est je suis rentrée
|
| J’ai suivi mon étoile et j’ai chanté
|
| Je sais qu’un jour, ça vaudra de l’or
|
| Pourtant, c’est ça l’histoire de ma vie
|
| Mon art n’est que le cœur de ma pensée
|
| Y croire et jamais perdre le Nord
|
| Entrevoir enfin les premières lueurs de l’horizon
|
| Couleurs de mes visions, les lueurs de l’horizon
|
| Prières de ma raison, les lueurs de l’horizon
|
| J’suis de génération 80 genre Soprano ou genre Salif
|
| J’ai porté Lacoste, pompes Sebago ou Karl Kani
|
| Joué au sket-ba sur des terrains ou y a pas de panier
|
| Puis j’ai vu la lumière après un couplet de Pope Dany
|
| J’aimerais vous expliquer mais je trouve pas les mots
|
| La sique-mu, ça te rentre et te bousille carrément
|
| Le petit renoi timide rentre dans l’game sans un pas d'élan
|
| S’transforme en cabine, crache le feu comme un chalumeau
|
| J’avais pas de pecs, gringalet, premier album à 20 balais
|
| Au-delà du beat, t’entends mon cœur s’emballer
|
| Les têtes d’affiches deviendront des rivaux
|
| Et j’ai très vite aperçu les lueurs de l’horizon
|
| J’ai aperçu la lumière est je suis rentrée
|
| J’ai suivi mon étoile et j’ai chanté
|
| Je sais qu’un jour, ça vaudra de l’or
|
| Pourtant, c’est ça l’histoire de ma vie
|
| Mon art n’est que le cœur de ma pensée
|
| Y croire et jamais perdre le Nord
|
| Entrevoir enfin les premières lueurs de l’horizon
|
| Couleurs de mes visions, les lueurs de l’horizon
|
| Prières de ma raison, les lueurs de l’horizon
|
| Sur ce beat, la prod est magique, j’lui ai mis un costard
|
| Pour provoquer la chance, faut être déter', faut être un bosseur
|
| Le ciel m’a filé un dossard
|
| Torse nu devant ma feuille, est-ce que c’est grave, docteur?
|
| Un son de plus sur ma life et l’pe-ra comme t’aimes
|
| J’ai un délire et une vibe mais peu la comprennent
|
| Alors je rappe les yeux fermés, j’laisse mon cœur parler
|
| Libre comme un sons sur sa Harley
|
| Plusieurs fois genou à terre mais toujours relevé
|
| Peu importe la durée de nuit, le soleil va toujours se lever
|
| Volonté de feu, love, espoir
|
| 91 fierté, mon CNL Square
|
| J’ai aperçu la lumière est je suis rentrée
|
| J’ai suivi mon étoile et j’ai chanté
|
| Je sais qu’un jour, ça vaudra de l’or
|
| Pourtant, c’est ça l’histoire de ma vie
|
| Mon art n’est que le cœur de ma pensée
|
| Y croire et jamais perdre le Nord
|
| Entrevoir enfin les premières lueurs de l’horizon
|
| Couleurs de mes visions, les lueurs de l’horizon
|
| Prières de ma raison, les lueurs de l’horizon |