| Paro, laisse-les s’enflammer jusqu'à ce qu’on les arrose
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| Faut pas s’fier aux balances et aux apparences, ceux qui parlent beaucoup n’ont
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| jamais eu de parole
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| Ils t’aimeront quand t’es mort, comme DJ Mehdi, j’ai mérité mes titres,
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| plein d’vérités j’ai dit
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| C’est pas de la comédie, j’ai médité, mais qui t’es pour juger, critiquer,
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| mes idées, mes disques
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| J’ai débridé mes vices, élucidé mes pistes, j’aurais mieux fait d'éviter des
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| feats et débiter des hits
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| Mais j’ai kické, j’ai vite compris que j'étais pas comme eux quand j’les ai vu
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| sucer des bites et des bites, là j’ai tilté
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| Les dés sont pipés, les jeux sont truqués, moralité:
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| Après Miraculé j’suis trop rancunier, va te faire enculer par Laurent Ruquier
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| La vie ça donne des va-vapeurs, de quoi halluciner, la plupart de tes rappeurs
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| t’ont baratiné
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| Tu t’es fait levé à l’aube, début de la matinée, t’es arrivé en cellule
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| d’arrivant à l’heure de dîner
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| C’est baisé, c’est baisé, j’suis léger mais j’veux peser, proposez-moi des lovés,
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| j’ai des projets à déposer
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| J’ai creusé, un fossé, entre moi et la relève, mauvais élève, demande-moi pas
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| tous les défauts que j’ai
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| Fuck faire la queue dans les boites d’intérim
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| J’suis bousillé, j’suis trop grillé
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| J’connais le générique et la fin du film, fils d’ouvrier, tu veux briller
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| Tu finis rafalé comme Jacques Mesrine, sauf que toi, demain on va t’oublier
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| Faut du pèse pour m’apaiser, ça m’aide, le rap game, j’lui ai baisé sa mère
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| J’fais du rap hétéro, tous ces zehmel veulent se pousser la merde,
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| ils veulent tous se la mettre
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| Poto, crois pas qu’eux et nous c’est la même, j’maîtrise le truc,
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| j’ai tous les paramètres
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| Niro t’es relou faut pas qu’on t’ramène, partout où vous allez vous foutez la
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| merde, bah ouais, mon ami
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| Bah ouais, mon ami
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| Bah ouais, mon ami
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| Bah ouais, mon ami
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| Bah ouais, mon ami
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| Bah ouais, mon ami
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| Bah ouais, mon ami
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| Bah ouais, mon ami
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| Fais-moi pas la bise quand j’sors du placard, je vais te balafrer la joue
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| J’ai un tas d’ennuis, sale petit bâtard, c’est tard la nuit que je remets tout
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| à jour
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| Mon compte en banque réclame des zéros, autrement dit, des millions d’euros
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| Là c’est de la faim ou de la gourmandise? |
| Là c’est Nourredine ou N.I.R.O?
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| Bah ouais, mon ami
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| Ils avaient plus la dalle, nous on va tout prendre, ici on a tout compris dans
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| la souffrance
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| J’tire les penalties, les corners et les coups-francs, la jalousie les tuera
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| tous, qu’ils meurent en souffrant
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| La jalousie les tuera tous, qu’ils meurent en souffrant, les hatai se taillent,
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| y’a que les vrais qui restent
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| Tu me dois du biff espèce de suce-bites, si je te croise à la tirette,
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| j’te roule dessus direct
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| J’suis né dans les prises de têtes, j’ai jamais mis mon nez dans la roupette
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| Vous allez retrouver vos carrières de merde, découpés en huit dans un sac
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| poubelle
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| Depuis que j’ai sorti «Vivastreet», les salopes augmentent le prix
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| Tu veux réussir? |
| Ok, bsahtek, t’as un gros Q, mais il te manque le I, salope
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| Y’en a qui soutiennent que par intérêt, qu’ils soient bons ou pas,
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| je peux plus les voir eux
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| Ils veulent te serrer, venir à tes soirées, ils te ramènent que dalle,
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| que des plans foireux
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| Gros, qu’est-ce que tu veux? |
| Je les ai vus venir depuis la couveuse
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| Ils veulent tous partager leur enfer mais ils gardent tous leur paradis pour
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| eux, chacun sa route, niquez vos mères
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| Les grands bonhommes font les grandes victoires, salope
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| Les grandes salopes font les grandes histoires, salope
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| J’pense à ceux qui sont pas en vie et puis aux vrais qui ne nous envient pas
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| J’ai eu beau chanter «Follow me», 'bats les couilles si tu nous suis pas
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| Je vais te balafrer la joue
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| J’ai un tas d’ennuis, sale petit bâtard, c’est tard la nuit que je remets tout
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| à jour
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| Mon compte en banque réclame des zéros, autrement dit des millions d’euros
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| Là c’est de la faim ou de la gourmandise? |
| Là c’est Nourredine ou N.I.R.O?
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| Bah ouais, mon ami
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| Bah ouais, mon ami
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| Bah ouais, mon ami
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| Bah ouais, mon ami
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| Bah ouais, mon ami
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| Bah ouais, mon ami
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| Bah ouais, mon ami
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| Bah ouais, mon ami
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| Ca c’est bon, c’est du manioc |