| Elle est belle, elle est douce
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| Elle a les doigts d’pieds qui poussent
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| Un éventail de saveurs qui bat l’beurre du planteur
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| Lentement dirigé avec sensualité
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| Vers les extrémités de mon gros nez
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| C’est stimulant voire enivrant
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| Odeur fétide qui s’dégage du manant
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| Non là vraiment c’est dégueulasse
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| J’aurai besoin d’un peu d’espace
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| Qu’on fasse quelque chose, qu’on lui apprenne la classe
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| On appelle la voisine
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| «Fénéants, hérétiques «, nous on l’appelle la vieille bique
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| Pour soigner la migraine du bonheur
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| On lui dit «pousses, pousses, pousses ! |
| «Faut rester concentrée, nous en faire voir de toutes les couleurs
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| Encore cette nuit c’est arrivé, elle a appelé son vieux dédé
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| Ensemble ils ont copulé copulé
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| Ce vieux félé m’a dit un jour, qu’elle lui avait joué un sal tour
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| La vieille, elle va finir dans l' four!
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| On appelle la voisine
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| Le matin y a son chien, un superbe caniche nain
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| Une vrai terreur
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| Le Canin!, postré sur le bout du lit
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| Alerte au moindre mouvement de la mamie
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| Elle vient de l’appeler Hercule, sa petite chose, son ridicule
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| Comment veux tu, Comment veux tu, Comment veux tu
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| Elle vient de l’appeler Hercule, sa petite chose son ridicule
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| Comment veux tu faire passer la pillule?
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| On appelle la voisine |