Il y a des sortes de cris
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Sur lesquels on peut compter
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Des belles histoires, des feries
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Que l’on peut raconter
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Mais il y a des murmures
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Que l’on cache dsormais
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Bien planqus au fin fond des armures mais,
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Il y a ces instants aussi
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O les nerfs o nous lchent
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Au cњur des histoires, quand les fes en rient
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Au fin fond des soirs dans les feries
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Comme des incertains murmures
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Juste susurrs au silence de plomb
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Qui s’chappent des futurs
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Et convolent sur l’instant
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Il y a des airs que l’on n’entend pas,
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Des dserts que l’on traverse
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Des tranches pleines de gravas
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Des machinos dans les lignes adverses
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Mais aussi
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Des hurlements
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Qui dchirent les nuits
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Trs certainement
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Ceux de la fin d’une vie
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Des aboiements surement aussi
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Le bruit des larmes qu’on essuie
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Il y a des cris des cris des cris
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Il y a des cris sur lesquels on peut compter
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Des belles histoires, des feries que l’on peut raconter
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Il ya des crits sur lesquels on peut conter
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Des belles histoires d’Eiffel, Henri ou Gustave,
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On peut se tromper
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Au cњur des histoires quand les fes en rient
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Quand le silence fait du bruit
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Il y a des airs que l’on n’entend pas,
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Des dserts que l’on traverse
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Des tranches pleines de gravas
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Des machinos dans les lignes adverses
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Il y a des hurlements
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Qui dchirent les nuits
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Trs certainement
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Ceux de la fin d’une vie
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Et des aboiements surement aussi
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Le bruit des larmes qu’on essuie
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Il y a des cris des cris
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Il y a des hurlements
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Qui dchirent les nuits
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Trs certainement
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Ceux de la fin d’une vie
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Il ya des cris, le bruit des larmes qu’on essuie
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Trs certainement, la fin d’une vie
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Il y a des hurlements
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Qui dchirent les nuits |