Apres que la folie des hommes
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Eut libere des forces pour lesquelles
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Ils n’avaient pas la connaissance
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Et que la grande lueur mauvaise
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Eut brule en un jour toute la surface de la terre
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Et que toute forme de vie eut disparu
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Et qu’il ne resta plus qu’un ocean de feu
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Des magmas oublies surgirent des profondeurs du globe
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Et se refroidirent en mer de vie
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Lacs de saphirs et montagnes de poudre
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Alors seulement les fils de la connaissance
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Virent que les derniers lambeaux de la malediction humaine
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S’etaient enfin disperses aux confins de l’univers
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Et deciderent que cette planete du systeme d’Oran
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Etait enfin bonne pour recevoir la vie
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Le premier jour, le vivants a jamais fils de la connaissance
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Descendirent sur la terre pour faire place nette
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Et chasser le petits genies solitaires et malefiques
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Qui s’installent souvent sur les planetes abandonees
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Ils virent que l’eau de la vie manquait
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Et se mirent a dormir la jusqu’au soir
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Le deuxieme jour, ils peuplerent mers et oceans de vie
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Quatre grandes medeuses intelligentes
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Furent chargees de regner sur le monde marin
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Orion… Occident…Septentrion…Meridion
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Le trosieme jour, le vivants a jamais fils de la connaissance
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Peulperent les surfaces emergees
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De vegetaux pensants et autogeres
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Le cinquieme jour les fils de la connaissance
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Peuplerent montagnes et vallees, plateaux et plaines
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D’animaux sapient et benefiques
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Qui se reproduisaient en phartenogenese
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Ces animaux etaient autogerers
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Le sixieme jour le fils de la connaissance
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Virent que la terre etait bonne
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Et que l’experience valait la peine d’etre a nouveau tentee
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Ils creerent des etres a leur image
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Des humanoides a la peau d’acier
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Charges a jamais d’equilibrer le blanc et le noir
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Le plus et le moins
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Des humanoides a la peau d’acier
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Gardiens toujours du secret
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Le septieme jour le fils de la connaissance
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Se rejouirent car la terre etait bonne
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Dans le galaxies les plus reculees
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Resonerent les echoes d’interminables festin
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Qui saluaient la nouvelle terre
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Le souvenir de la nature meme, etait deja bien loin |