| Une tache d’ombre et, dans le désert, des traces de poudre et de safran |
| Des taxis blancs, de claquements de portières. |
| Un vrai mélange de sentiments. |
| Madrid, Madrid, le prix que je paie |
| C’est encore quelques heures sans sommeil pour me souvenir de toi. |
| Puerta del Sol, station du métro, sortie vers la Plaza Mayor. |
| Je suis à l’heure je crois bien que j’en fais trop |
| Une vraie doublure dans un décor. |
| Madrid, Madrid, tu peux me faire signe |
| Tu peux brouiller mes mots sur la ligne quand je parlerai de toi. |
| Bonsoir y buenos días, et jusqu’au dernier détail |
| Miroir si has de ser mí espía, ses yeux derrière un éventail |
| Madrid, Madrid, les choses que je pense |
| Ont un petit air d’accordéon rance quand elle n’est pas avec moi. |
| (Accordéon solo) |
| Madrid, Madrid, le prix que je paie |
| C’est encore quelques heures sans sommeil pour me souvenir de toi. |
| Toda una tarde en el Retiro, echando piedras a un farol |
| Esto es amor, es que se han derretido con tanta luz y tanto sol |
| Madrid, Madrid, me pongo triste |
| Al ver lo bien que tu te vistes, si se han a reir de ti. |
| Bonsoir y buenos días, et jusqu’au dernier détail |
| Miroir si has de ser mí espía, ses yeux derrière un éventail |
| Une tache d’ombre et dans le désert, des traces de poudre et de safran |
| Des taxis blancs, de claquements de portières. |
| Un vrai mélange de sentiments. |
| Madrid, Madrid, me desesperas |
| De tanto mover las caderas, se van a reir de ti. |