Информация о песне На данной странице вы можете ознакомиться с текстом песни Le couloir de la mort, исполнителя - Rim'K. Песня из альбома L'enfant du pays, в жанре Иностранный рэп и хип-хоп
Дата выпуска: 13.01.2015
Лейбл звукозаписи: Frenesik, Sony
Язык песни: Французский
Le couloir de la mort |
Histoire de *snif* ou d’fêlé qui sort les clik clik |
Ils nous ont offert un trône: c’est une chaise électrique |
La banlieue, ils nous court-circuitent |
Ils ont pas trouvé nécessaire d’mouiller l'éponge comme dans La Ligne verte |
Autant nous fumer à coups d’cric |
C’est la même, on veut la liberté, ça a pas d’prix |
C’est l’histoire d’une banlieue pourrie, Vitry, rapport d’force |
Les keufs t’mettent quatre fois plus la lampe torche |
Sur la gueule depuis l’histoire d’la Porsche |
Sur mon avenue, il s’passe des choses atroces |
Ça crosse, ça force les serrures des coffiots, c’est du sérieux chérie |
On veut du Cerruti, quitter la ville en Cherokee |
Cette routine: les odeurs d’pneus, d’shit et d’chevrotine, faut qu’on s’retire |
Trafics internationales, skonk, shit, coke, ecsta' dans les boites |
Tendance à bicrave, la zik pète, même à des stars |
Des mecs commanditent des actes en direct d’leur cellule toute grise |
Tout pour l’biz, sans pitié: la devise, j’t’invite |
Y’a des grigris mais n’empêche y’a des garde-à-v' |
Dring dring, commission rogatoire |
Pour de la résine, t’es par hasard en cellule de dégrisement |
Mais y’a deux jours t'étais dans une banque en déguisement |
On maîtrise le mensonge, songe à notre avenir, un futur, attend, |
on a pas l’temps |
Des arsenals en provenance des Balkans |
Fais pas l’con y’a nos petits frères qui regardent du balcon |
Les baltringues s'écartent d’eux-mêmes |
Les mêmes qui en quatre phrases te démantèlent des réseaux |
Amènent des infos sur les récents bracos |
Et manque plus qu’des impacts d’obus pour s’croire à Sarajevo |
Mon avenue c’est l’couloir d’la mort, Vitry |
Histoire de drogue ou d’fêlé qui sort les outils |
Arnaques, crimes, botaniques, transat' les cames, à ton avis à quand l’calme? |
Quand on fera sauter nos immeubles à la dynamite |
Gros, c’est l’couloir d’la mort, Vitry |
Histoire de drogue ou d’fêlé qui sort les outils |
C’est l’histoire d’une banlieue pourrie, transat' les cames, à ton avis à quand |
l’calme? |
Quand on f’ra sauter nos immeubles, nos immeubles |
On plaide tous l’innocence comme Omar Raddad |
On nie en bloc à nos petits minots qui sortent beaux gosses à la fin du Ramdam |
La rage nous rend aveugle, y’a plein d’Stevie Wonder |
A croire qu’il en restera qu’un comme dans Highlander |
Entre les gyro et les Jihane |
Avec des regards expressifs comme dans les ruelles d’Harlem |
On fait péter les durites avec du rythme, Allahou ahlem |
Si on s’en sortira, un pirate qui s’tire dans les pattes |
Escroc vend du cirage |
Des izem avec les chicos trop longs |
On s’mouille, on fraude, on s’grogne dessus entre ivrognes |
Déçus par certains, ton pack de 12 est encore plus fiable |
Poussée d’adrénaline, l’ADN: y’a pas plus fiable |
Culotté, on t’escroque comme Rocancourt |
On a la sale manie d’tout vouloir piloter: grosse bécane, VTT, Berline |
On sait ce qu’on encourt, pété, on bombarde, tu m’dis «arrête» |
Le loyer c’est deux arraches, ajoute 30 barrettes |
Mon avenue c’est l’couloir d’la mort, Vitry |
Histoire de drogue ou d’fêlé qui sort les outils |
Arnaques, crimes, botaniques, transat' les cames, à ton avis à quand l’calme? |
Quand on fera sauter nos immeubles à la dynamite |
Gros, c’est l’couloir d’la mort, Vitry |
Histoire de drogue ou d’fêlé qui sort les outils |
C’est l’histoire d’une banlieue pourrie, transat' les cames, à ton avis à quand |
l’calme? |
Quand on f’ra sauter nos immeubles, nos immeubles |
Dans un rade à guetter l’Rapido, l’Tiercé, l’Parisien |
A discuter une heure sur l’quartier rouge, les GIR |
3.5.7, les CR, les darons sévères, les moteurs qui serrent |
Les bécanes qui servent à commettre des actes ultra-violents |
On s’croise au grec ou au dépôt, pas dans les salons d’ultraviolets |
Les jeunes ont pris le relais, XXX les zguegs dans un mélange de couleurs |
Dans la douleur s’forment des associations d’malfaiteurs |
En 48 heures d’garde-à-vue ta cote chute |
Des grosses beignes dans les côtes (chut) |
Devant l’juge où 300% d’chances d’te faire marcher dessus |
Y’a plus personne que ça amuse, arnaque les baveux, brise les mauvaises langues |
Kiffe les longs trajets, la Thaïlande, l’Espagne ou l’Sud, la Méditerranée |
Vision propre sur c’monde, le nez enfariné |
Et encore plus de roro qu’les daronnes, la braque: la spécialité locale |
Mais cache pas ton coffre derrière les caves (c'est grillé) on oublie pas les |
détails |
A la recherche de la bonne occasion |
Pendant qu’au hebs les moins chanceux perdent patience et gambergent à l'évasion |
Dehors en CE1 ça parle d’R1, professeur catalogue le petit frère de terreur |
Qu’est-ce qui peuvent faire tes rents-p'? |
Même en zbeul toute la nuit, j’pourrais faire couler l’encre |
Les tragédies, les bruits, odeurs, rumeurs |
Les véhicules, les familles, les rumeurs |
Les m œurs, douleur assimilée par c œur |
C’est ma cité Carter à moi, à nous, Vitryo hey kho |
C’est ça notre vie, code 94−400, Vitry |
Ma banlieue a ses qualités et ses défauts |
Mais plus de drames qu’il n’en faut |
Mon avenue c’est l’couloir d’la mort, Vitry |
Histoire de drogue ou d’fêlé qui sort les outils |
Arnaques, crimes, botaniques, transat' les cames, à ton avis à quand l’calme? |
Quand on fera sauter nos immeubles à la dynamite |
Gros, c’est l’couloir d’la mort, Vitry |
Histoire de drogue ou d’fêlé qui sort les outils |
C’est l’histoire d’une banlieue pourrie, transat' les cames, à ton avis à quand |
l’calme? |
Quand on f’ra sauter nos immeubles, nos immeubles |