Информация о песне На данной странице вы можете ознакомиться с текстом песни Scar et Mufasa, исполнителя - JUL.
Дата выпуска: 19.03.2023
Возрастные ограничения: 18+
Язык песни: Французский
Scar et Mufasa |
Frangin, j’ai fait le pain\nJ’réfléchis plus quand j’mets le plein\nÇa sort le mousse, fait pas de bruit\nC’est déterminé comme un clin\nIls essaient tous de m’appeler\nJ’m’y sens presque harcelé\nEst-ce que j’dois leur rappeler?\nÇa m’dit «Nique sa mère, zappe-les «J'représente Marseille jusqu'à Sarcelles\nJ’rentre le soir, un pétard solo\nJ’me fais intercepter, ça veut la photo\nJ’cache le pétard pour d’la\nJ’nique tout, j’me mets die\nFais péter l’pot sur l’boulevard baille\nJ’ai jamais tiré de rails\nDans la zone ça déraille comme dans Raï\nMon Capri-sun Banane\nMon cinquante dans la banane\nJ’ai des contacts jusqu'à Paname\nJ’préfère l’Audi, les autres ça rame\nLa vue: une carte postale avec la piscine\nPlein d’pochons dans la cuisine\nJ’fais des gros sons, elle bouge la 'zine\nLa 'zine, la 'zine, la 'zine, la 'zine\nJ’fais des flows, rien que j’assassine\nQuand j’ai les nerfs, dans le son ça s’sent\nJ'écoute la rue dans le poste à fond\nFais gaffe, s’il fait la bise, ça baise ta femme\nBon, ils sont bofs\nJ’ai pas changé, j’suis le même qu’en pauvre\nPas d’bulletins en poche, mais j’peux rouler en Audi ou en Porsche\nÇa t’oublie sans bitch, ça t’prend en sandwich\nMais j’m’en fiche, j’peux arriver en Heetch\nJ’fais des ventes sans triche\nMon affiche sur l’bûche\nD’or et de platine sur l’buste\nFaut qu’tu dégustes avec tes, ou avec tes gosses quand tu t’sens seul et que\nt’es triste\nPour s'évader, ta copine m'écoute dans l’golfe\nJ’lui donne d’la force quand elle va à la cave\nSituation macabre, six heures du mat ça câble\nLes flics à ta porte, tu cours à ta perte\nY’avait tout dans l’appart, la blanche, la verte\nEt il s’avère que y’en a qui savaient, hm\nÇa poukave sévère, c’est pour faire l’argent à ses frères\nTout l’monde a souffert\nMais si y’a une guerre, tout l’monde a son fer\nÇa monte dans la\nIl m’reste deux sticks, il faut qu’j’en fasse un\nAprès j’vais toucher t’façon\nAu lieu d’t’en prendre à un p’tit, va t’en prendre à un gros poisson\nEh, p’te pute, s’demande pourquoi ça\nEnvie d’tout casser, j’suis pas à l’abri d’mourir d’un trahison à la Scar et\nMufasa\nJ’fais un assaut, dans les bacs j’ai le cœur glacé\nCrois pas qu’j’t’ai oublié, t’es dans les affaires à classer\nT’es dans les actions de crasseux, j’t’ai vu tchouper pour être côté passager\ndu classé\nFrérot, on s’parlera plus, j’pourrais plus jamais t’dédicacer\nJ’ai pas fait l’mec, j’ai dit bonjour quand j’ai vu ta daronne passer\nEt maintenant à cause de ça, beh, j’repense au passé\nTout l’monde à pété les plombs, crois-moi, j’sais pas c’qui s’est passé\nOn était comme des frères mais j’ai vu qu'ça m’a vite remplacé\nJ’en profite pour en placer une pour ceux en cellule qui ont plein d’affaires\nsous sellés\nAu parleur, sous les couilles, y’a du bon shit, dessous c’est l’eau\nC’est plein d' «Salam, wesh alors «J'espère ma peine elle sera pas lourde\nJ’espère qu’l’avocat sera à l’heure parce que j’vais lui donner tout mon salaire\nFrangin, j’suis parano\nJ’sors quatre albums par année\nCet hiver j’me barre à Londres\nJ’pourrais m’poser dans un bar à l’ombre\nOn fait d’la musique en parallèle\nAprès l’poto il s’re-barre à Lilles\nFrigot vide, j’pars à l’alim\nL’autre pour une fille, il part à Nîmes\nAu compteur d'180, en fumette j’vois pas devant\nOk, j’suis Jul, mais j’me suis pris plus d’quatre vents\nJ’suis pas devin\nEmbrouille, j’suis devant, moi j’change pas de camps\nJ’rappe, c’est choquant\nPlus j’te découvre, plus t’es choquant\nEt en showcase, j’fais bouger tout l’monde\nJ’rentre, j’mets une série\nEn buvette tu m’as parlé, à jeun tu m’as dit «N'fais pas attention «Mais moi j’ai vu qu’t'étais sérieux\nOn fera comme si ce qui s’est passé c’est rien\nJ’rentre dans l’biz, j’suis présent comme patron\nJ’sais qui m’aime pas trop, qui m'écoute à fond\nLes civils t’mettent à plat-ventre s’ils trouvent une arme dans ta voiture\nDans d’la matière, j’suis pas un amateur\nÀ Marseille, les mères ils pleurent les morts\nFaut poser l’arme à terre, les sangtchos, calmate\nJ’fais pas d’karaté, mais quand même, gare à toi\nGaucher comme Gareth\nQuand ils arrivent pas les gens, ils ont pas d’couilles, ouais ils sont bons\nqu'à arrêter\nJ’peux chanter devant soixante mille, j’ai toujours honte d’faire un karaoké\nJ’suis pas l’genre «J'vais t’tirer dessus «, mais s’tu veux la bagarre, ok\nJu-Ju-Jul il vient d’en bas\nRafale, flow, crick-crick-pah\nTu m’cherches la merde quand tu vois qu’j’ai réussi, poto j’te vois pas\nQuand tout va bene, j'éteins l’pétard comme\nLà j’suis en jetski sur l’eau parce que dans les soucis j’ai trop baigné\nTu m’aimes pas, bah, ramène\nJ’te pardonne, mais quand-même\nQuand j’te vois, tu mérites qu’j’te fasse un combo à la Youssef Boughanem\nEt dans la clique, peut-être qu’y’en a comme des glocks\nParce qu’ils trainent dans l’bloc, parce qu’ils ont peur d’se faire lever assis\nsur la coque\nÀ coups de claques, la drogue sous\nAudi noire, tu m’vois, tu tires les morts, tu craques\nToutes les portes je crique pour c’qui grattent toute la journée,\nqu’on les pieds plein de cloques\nJ’t’ai vu faire un action, ça m’a fait un déclic\nClic-boum, clic-boum\nIls font l’signe Jul les flics, a-tchique-a-tchique\nLà j’suis sous statique, j’suis plus sympathique\nJ’sens plus la fatigue\nÀ Marseille, les flingues, ils sont pas en plastique\nDans ma tête j’suis dans les îles, dans mon cœur, gros c’est l’Antarctique\nFaut l’savoir et la pratique\nFaut l’art et la manière\nEt j’crois qu'à la maison, ils font un automatique |