| J’ai marché loin vers la mer
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| Quelques pensées amères
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| À noyer dans les vagues
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| Et la douceur des matins tranquilles
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| Nos voyages à deux dans les îles
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| Se soulève avec le sable
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| Se soulève avec le sable
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| Je vais sous le soleil d’hiver
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| Et je mène mes larmes à la mer
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| Je relève le col de mon manteau droit
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| Sous l’azur des lumières de la cote de la riviera
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| Je perds tout le chaud de tes bras
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| Mais je serre notre amour contre moi
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| Je frisonne sous le bleu d’un ciel sans éclat
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| Je n’avais jamais eu aussi froid sous la riviera
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| Derrière moi l’ombre de la ville
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| L’horizon est comme immobile
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| Sous le vent qui tournoie
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| Sous le vent qui tournoie
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| Le cœur et le souffle fragile
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| Je respire encore difficile
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| Ces grains de toi
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| Je me débats
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| Je vais sous le soleil d’hiver
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| Et je mène mes larmes à la mer
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| Je relève le col de mon manteau droit
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| Sous l’azur des lumières de la cote de la riviera
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| Je perds tout le chaud de tes bras
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| Mais je serre notre amour contre moi
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| Je frisonne sous le bleu d’un ciel sans éclat
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| Je n’avais jamais eu aussi froid sous la riviera
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| J’espère qu’il y aura d’autres voyages
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| Et des sentiments aussi sauvages
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| Plus loin que la riviera
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| Plus loin que la riviera
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| Je vais sous le soleil d’hiver
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| Et je mène mes larmes à la mer
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| Je relève le col de mon manteau droit
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| Sous l’azur des lumières de la cote de la riviera
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| Je perds tout le chaud de tes bras
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| Mais je serre notre amour contre moi
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| Je frisonne sous le bleu d’un ciel sans éclat
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| Je n’avais jamais eu aussi froid sous la riviera |